TY - EJOUR AU - Leca, Antoine AU - Nicolas, Guylène AU - Truchet, Didier AU - Haoulia, Naïma AU - Rebecq, Geneviève AU - Guillod, Olivier AU - Casile Hugues, Geneviève AU - Teremoana Hellec, Arnaud AU - Agresti, Jean-Philippe AU - Shen Jun, AU - Jin, Banggui AU - Li Lingwei, AU - Song Hualin, AU - Zhu Hong, AU - Dessi, Florent AU - Brun, Philippe AU - Snyder, Francis AU - Lu, Yi AU - Gulrez, Yazdani AU - Yo, Suvirak AU - Schonfeld, Arthur AU - Luwen Shi, AU - Dong Zuo Jun, AU - Yang Li, AU - Cintrat, Maud AU - Lv Guiyuan, AU - Le-Prudhomme, Thanh Tu AU - Dominique, Manga AU - Hyuna Bae, AU - Jimin Lee, AU - Byung Cheol Lee, AU - Jing Chen, ET - LA - Français PB - LEH Edition PY - 2016 TI - Le droit de la médecine chinoise dite " traditionnelle " (n°20) T2 - N2 - Ce vingtième numéro des Cahiers de droit de la santé retrace les Actes du XIIIecolloque du Centre de droit de la santé d’Aix-Marseille, tenu à Hangzhou, les 16-17 septembre 2013, dont l’objet était le statut juridique de la médecine et de la pharmacopée chinoises. C’est le premier ouvrage d’ensemble paraissant en Europe sur ce sujet. Il est vrai que, de la médecine chinoise, le droit français ne connaît positivement que l’acupuncture, dont l’exercice est réservé aux professions médicales, et quelques éléments épars d’herboristerie, que la THMPD (Traditional Herbal Medicinal Products Directive) pourrait toutefois contribuer à développer. En effet, de prime abord, l’expression renverrait plutôt à l’exercice illégal de la médecine, de la pharmacie, voire de la masso-kinésithérapie — avec la massothérapie traditionnelle dite Tui Na. Et pourtant, sans même rappeler qu’outre-mer les positions du droit français sont moins rigides, notamment en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie (avec la mise à la disposition du public de médicaments chinois), force est de constater que différents systèmes juridiques adoptent des points de vue très différents, notamment la Suisse et, aux antipodes, nos amis australiens. Par ailleurs, au-delà de ces aspects de droit comparé, on ne peut pas imaginer que dans un univers mondialisé, où circulent des médicaments dont les performances sont très controversées (les produits homéopathiques) les médicaments chinois qui s’appuient sur une expérience millénaire puissent se circonscrire éternellement aux seuls marchés de l’Asie du Sud-Est. Cette réalisation n’aurait pas pu se tenir sans l’appui du laboratoire ADÉS d’Aix-Marseille Université, de l’Académie des sciences sociales du Zhejiang, de l’université de médecine traditionnelle chinoise du Zhejiang et de notre sponsor, la Zhejiang Weishi Biotechnology Co., LTD ainsi que des partenaires habituels des Cahiers. PP - Bordeaux ID - bnds-5275 L2 - https://www.bnds.fr/edition-numerique/revue/cdsa/le-droit-de-la-medecine-chinoise-dite-traditionnelle-n-20.html SN - 2427-4836 SP - 0 EP - 0