Auteur : Jean-Louis ROMANENS
Dans des blocs opératoires par nature clos, dont l’évaluation de la qualité des moyens demeure encore aujourd’hui inaccessible à des patients sans conscience, la qualification et les actes des personnels aides opératoires sont déterminés par une législation dont l’application est diluée par des groupes de pression, varie selon le statut des installations chirurgicales et ne respecte pas les droits des usagers.
Docteur en droit, chargé d’enseignement en masters 1 et 2 Droit de la santé près la faculté de Montpellier (Centre européen d’Études et de Recherche Droit & Santé), conférencier au CHU de Montpellier et à l’ARS Occitanie, directeur général d’hôpital honoraire
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