L’homicide de soi-même, objet du procès pénal Les sanctions pénales de l’homicide de soi-même Les arguments philosophiques des Lumières La dépénalisation de l’homicide de soi-même I. Le suicide, obstacle à la mise en mouvement de l’action publique A. L’impossible déclenchement du procès pénal 1. Le non-déclenchement de l’action publique 2. Ces procès historiques qui n’auront jamais lieu 3. Ces procès de droit commun qui n’auront jamais lieu B. L’utilité subsidiaire d’une enquête pénale 1. L’exclusion des autres causes de mort 2. L’exclusion d’autres participants 3. L’obstacle médico-légal à l’inhumation 4. L’enquête de mort suspecte II. Le suicide, cause d’extinction de l’action publique A. Le suicide du suspect : cause de cessation du procès B. Le suicide du coupable : obstacle à l’exécution de la peine Conclusion, du risque de la résurgence du jugement pénal post-mortem
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