I. De la « provocation » au suicide universitaire A. Des Universités étouffées par des normes et des « pararègles » multipliées B. Des budgets de plus en plus contraints & conditionnés C. Des fonctions publiques étatiques démantelées au prot de contractuels de plus en plus précaires et dépendants D. Une administration à son propre service ? Quand le service public devient une entreprise sur le modèle hospitalier E. L’excuse pandémique : hybridez ou mourez F. Réformez ou mourez : les statuts spéciaux multipliés G. Fournissez des efforts ou mourez : la suspicion préalable d’inactivité & le mépris généralisé H. Des pressions confluentes sous climat de morale bien-pensante I. Des réformes exogènes imposées aux corps endogènes II. Du suicide universitaire « non assisté » A. Des temps & des espaces académiques remplacés par des temps administratifs B. Une liberté académique non suffisamment revendiquée C. Des missions universitaires devenues essentiellement administratives D. Des présidents d’université revendiquant une décentralisation académique & acceptant d’oublier leur condition originelle E. Des hypothèses d’étudiants consommateurs au détriment d’universitaires disponibles à toute heure F. Un refus a priori de sa battre et de s’engager malgré les alertes : l’individualisme et le consumérisme triomphants G. Un refus a posteriori de voir & de s’être informé poussant aux seuls regrets H. Un refus d’entrer en Constitution ? I. Une négation de l’indépendance académique?
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