La lutte contre le redoutable SARS-CoV-2 nous a fait (re)découvrir les vertus des « mesures barrières » et de la distanciation physico-sociale. Notre quotidien a été bouleversé, plus de cinéma, plus de théâtre, plus de ballet, plus de concert, plus de stade, plus d’apéro, plus de night-club, ... La sommes de ces « plus de » conduit inexorablement à beaucoup de « moins ». Moins de rencontres notamment. La pudeur la plus élémentaire doit-elle nous interdire de nous interroger : « Et la tendresse ? bordel !]».