I. La place recherchée de l’embryon au sein de la lecture traditionnelle de la distinction des personnes et des choses
A. L’équivocité constatée de la nature réelle de l’embryon
B. Une équivocité provoquée par les ambiguïtés de la lecture traditionnelle de la distinction des personnes et des choses
II. La place retrouvée de l’embryon au sein d’une lecture renouvelée de la distinction des personnes et des choses
A. La proposition d’une lecture renouvelée de la distinction des personnes et des choses
B. La qualification de l’embryon au sein de la lecture renouvelée de la distinction des personnes et des choses
1. La protection de l’embryon comme représentant de l’espèce humaine
2. L’absence de remise en question des solutions du droit positif