I. Chronologie des étapes clés a la contextualisation de l’étude II. Méthodologie III. Résultats A. Ce qui a fait le lit de l’hésitation vaccinale 1. Sur le plan politique 2. Sur le plan médiatique 3. La confiance érodée en un capitalisme pharmaceutique 4. La réticence vaccinale des Français B. Instauration de l’obligation vaccinale et consentement des soignants 1. La dimension sacrificielle du soin et héroïsation des professionnels de santé 2. L’obligation vaccinale, une logique stigmatisante 3. Le consentement des professionnels de santé est un principe éthique fondamental des débats relatifs à l’obligation vaccinale contre la Covid-19. L’originalité du sujet de cette étude étant de traiter du consentement des soignants. 4. La violence de l’obligation vaccinale a conduit les soignants que nous avons rencontrés à procéder à des analogies avec le viol 5. L’inconsidération du consentement s’apparente par ailleurs à la négation d’un rapport au corps singulier, construit par l’histoire de chacun 6. La vaccination, une décision prise sous contraintes financières C. Les motifs scientifiques de cette hésitation vaccinale 1. Un vaccin arrivé trop rapidement 2. Un vaccin qui ne correspond pas à la définition de ce qu’est un vaccin 3. L’inefficacité de ce vaccin 4. La dangerosité de ce vaccin 5. La science vaccinale n’existe pas D. Après l’épreuve de la vaccination 1. Entre résignation et acceptation, résistance et résilience 2. De la nécessité de questionner l’hésitation vaccinale sous le jour de l’éthique IV. Discussion A. « Pourquoi nous ? » Souffrance et perte de confiance en l’institution, vecteurs de l’hésitation vaccinale ? B. Le consentement des professionnels de santé 1. Démocratie sanitaire en temps de crise 2. L’obligation vaccinale, un viol ? 3. Anachronisme d’un contexte moral ? Conclusion de l’étude
|