I. La place putative de la coordination des soins dans le système de santé A. Le médecin généraliste de premier recours 1. Une évolution récente : le médecin traitant 2. Une situation opposée et pouvant se superposer : le médecin généraliste référent B. Un contexte contraire et multifactoriel 1. Une rente mémorielle 2. Existe-t-il des raisons à ce glissement des tâches des médecins ? a. Une paradoxale embellie de la démographie et de la sociologie médicales b. Un totem corporatiste et non plus sociologique de liberté d’installation c. La rémunération personnelle à l’acte de la médecine « exercée en ville » contribue à la sélectivité des tâches des médecins II. Infirmier référent, infirmier en pratique avancée, infirmier de bloc opératoire : acteurs de coordination, en mouvement A. Le contexte de la stratégie nationale de santé B. La multiplication des échappatoires infirmiers à la tutelle médicale 1. L’infirmier référent et les modalités relatives à sa désignation par les assurés atteints par une affection de longue durée 2. L’infirmier en pratique avancée : un propre exercice médical limité a. Loi n° 2023-379 du 19 mai 2023 portant amélioration de l’accès aux soins par la confiance aux professionnels de santé b. Décret n° 2025-55 du 20 janvier 2025 relatif aux conditions de l’accès direct (aux soins des) infirmiers en pratique avancée 3. Les compétences exclusives des IBODE dans les actes et activités en lien avec la fonction d’aide opératoire chirurgicale, parangon de la capacité d’obstruction du corps médical en établissement de secteur commercial
|