La nécessité d’accroître dans des conditions éthiquement et techniquement acceptables les possibilités de transplantation d’organes L’objectif de l’audition publique : la recherche de définition de procédures pour réaliser les prélèvements sur les donneurs relevant de la catégorie III de Maastricht De la nécessité de prélever sur les donneurs décédés après arrêt cardiaque « non contrôlé » aux donneurs relevant de la catégorie III en créant de nouvelles procédures Les prélèvements sur donneurs décédés après arrêt cardiaque (DDAC) : des prélèvements qui n’ont jamais été interdits en France Les freins à la mise en place de l’activité de prélèvement sur DDAC « non contrôlé » La nécessité de prélever mieux : l’amélioration des techniques de préservation des organes sur DDAC avant le prélèvement La méfiance des médecins transplanteurs par rapport à la qualité des greffons provenant de DDAC Les recommandations des sociétés savantes quant à l’extension des prélèvements sur les donneurs relevant de la catégorie III de Maastricht La loi Léonetti : un arrêt de traitement basé sur l’intime conviction De la détermination de la mort neuronale à l’attente de l’arrêt du coeur Une nécessaire phase expérimentale préalable à une éventuelle généralisation des prélèvements sur les donneurs relevant de la catégorie III de Maastricht La nécessaire dissociation entre l’accompagnement de la fin de vie et l’obtention des organes Le refus d’interdire par principe dans la crainte d’une « mauvaise utilisation » les prélèvements sur les donneurs relevant de la catégorie III de Maastricht Le choix d’une réforme sous forme réglementaire ?
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