I. – Les nouvelles figures de la fin de vie et de la mort, générées par les avancées de la médecine A. – Les avancées de la médecine moderne sont source de situations complexes et de nouvelles formes de vulnérabilité B. – La complexité et la vulnérabilité engendrées par les progrès de la médecine sont accrues par les effets de mutation de notre société ainsi que par le contexte économique 1. – L’augmentation des solitudes 2. – L’émergence des droits des personnes malades 3. – Les contraintes économiques II. – Les questions qui se posent et les débats qui s’ouvrent dans nos sociétés A. – La nécessité pour la médecine de changer en profondeur face à cette nouvelle réalité 1. – Le retour de la singularité et de l’altérité dans un contexte marqué par l’hégémonie de la norme et la prééminence de la science 2. – Vers une clinique moderne de la vulnérabilité et de l’incertitude 3. – Repenser la notion de performance à l’aune de la complexité, de la singularité, et de l’incertitude 4. – L’enjeu majeur de la formation des acteurs de la santé et la nécessité de penser de nouveaux métiers de la santé B. – Les questions qui se posent et doivent faire débat dans notre société 1. – Une nécessité de prise de conscience par notre société de ce « nouveau temps » qu’est la fin de vie 2. – La nécessité pour le citoyen de se réapproprier ce qu’il a trop confié à la médecine 3. – Le besoin de reconnaître la place du proche 4. – La nécessité de développer de nouvelles formes de solidarités 5. – Progrès et contraintes économiques : des choix nécessaires 6. – La nécessité de débats publics 7. – Faut-il changer la loi et autoriser le suicide assisté et/ou l’euthanasie ? Conclusion
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