I. – Les difficultés éthiques et techniques mises en lumière par les sociétés savantes concernant les prélèvements sur donneur à coeur arrêté contrôlé A. – Les recommandations de la Société française d’anesthésie et de réanimation 1. – La loi Leonetti : un arrêt de traitement basé sur l’intime conviction de l’évolution neurologique 2. – De la détermination de la mort neuronale à l’attente de l’arrêt du coeur B. – Les recommandations de la Société de réanimation de langue française II. – La création d’un protocole national unique pour réaliser des prélèvements sur le donneur à coeur arrêté contrôlé A. – Le principe de l’étanchéité des filières B. – Le principe du donneur mort C. – La recherche de l’absence d’opposition exprimée par le patient vivant au don post mortem auprès des proches aux fins d’examens avant la mise en oeuvre de la LAT D. – Les examens de contre-indications au don : des examens réalisés après la décision de LAT sans information de l’entourage E. – Les « prérogatives » accordées aux proches 1. – Des « prérogatives » liées à la particularité du donneur 2. – Une « prérogative » dérogatoire au droit commun : la possibilité pour les proches d’arrêter la procédure de don III. – Les perspectives liées au démarrage du protocole Maastricht III A. – Une nécessaire articulation avec le dispositif Leonetti B. – Une phase expérimentale avec des donneurs dont le décès sera rapide et un choix des receveurs C. – L’impact de sa mise en oeuvre sur les soignants
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