Relation épistolaire entre médecins : la cause du préjudice ne saurait résulter de la rédaction de la missive mais de l’utilisation qui en a été faite par le messager
I – L’absence de lien de causalité entre le préjudice et la rédaction de la missive
II – L’affirmation d’un lien de causalité entre le préjudice et l’utilisation de la missive par le messager