La place de l'être humain dans l'histoire de la pensée varie selon le courant philosophique dans lequel on se place. Le courant hétéronomique englobe l'être humain dans un indicateur de valeurs se définissant par référence à diverses entités, souvent la nature ou dieu. Le courant autonomique fonde quant à lui une morale indépendante des hypothèses de la métaphysique et de la religion. Le législateur ne reconnaît pas la supériorité de l'être humain que lui confère l'ensemble des philosophies. Pour normatiser l'humain dans le droit, il faut passer par la promotion de l'être moral. Il faut aussi considérer la dignité comme une aspiration de la société au respect de l'individu.
I. – L’ÊTRE HUMAIN NON « DONNÉ » A LA PERCEPTION : LES PHILOSOPHIES CLASSIQUES ET NÉOCLASSIQUES A. – L’être humain dans les genèses B. – L’être humain dans l’histoire de la pensée II. – L’ÊTRE HUMAIN TRÈS MALHEUREUSEMENT « OBJECTIVÉ » PAR LA BIOLOGISATION DE L’ÊTRE A. – La génétique : expression privilégiée de l’unification du vivant B. – La biologisation juridique de l’être humain
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