Introduction
PREMIÈRE PARTIE
LES DONNÉES
1. – Les concepts
2. – Les flux
1. Les flux de biens et services
1.1. La quantification des actes médicaux et paramédicaux.
1.2. La quantification des activités hospitalières
1.3. La quantification des autres biens et services médicaux
2. Les flux financiers
2.1. Les recettes
2.2. Les dépenses
3. – Les professionnels
1. Les médecins
2. Les chirurgiens-dentistes
3. Les infirmiers
4. Les autres auxiliaires médicaux
5. Les sages-femmes
6. Les pharmaciens et les biologistes
4. – Les structures sanitaires
1. Les institutions étatiques.
2. Les établissements de santé
5. – Les demandeurs de soins
1. La prise en charge hospitalière par grande pathologie
2. La prise en charge par activité
3. Le coût moyen des remboursements de soins des malades en ALD
6. – Les payeurs
DEUXIÈME PARTIE
LES MÉCANISMES
1. – La production
1. Qu’est-ce qu’un produit ?
2. Comment produit-on ?
3. Pourquoi produit-on ?
2. – Les échanges
1. Qui échange ?
2. Qu’est-ce qu’on échange ?
3. Qui possède ? Qui ?
4. Qui paie ?
3. – La consommation
1. Qui consomme ?
2. Comment consomme-t-on ?
3. Pourquoi consomme-t-on ?
TROISIÈME PARTIE
LES QUESTIONS
1. – Comment réguler l’économie de la ?
A. La régulation par l’offre
B. La régulation par la demande
2. – Comment financer l’économie de la santé ?
A. Le financement solidaire du système de santé
B. Le financement individuel
3. – Comment gérer l’économie de la santé ?
A. Gestion publique ou gestion privée ?
B. La gestion macro ou microéconomique ?
QUATRIÈME PARTIE
LES ÉCUEILS
1. – Les limites de la santé « étatisée »
I. Les limites économiques
1. L’offre de soins est bridée, mais pas maîtrisée
2. Les coûts trop globaux ne reflètent pas la réalité très diversifiée
II. Les limites politiques
1. La politisation du bien commun
2. La politisation de l’économie sanitaire
III. Les limites philosophiques
1. Dans la santé étatisée, la morale dépend des besoins
2. L’éthique est un instrument de la politique
Conclusion
2. – Les limites de la santé « libéralisée
I. Les limites sociales de la santé « libéralisée »
1. La santé libéralisée sans parapet aggrave les inégalités
2. La santé libéralisée sans régulateur est politiquement aveugle
II. Les limites économiques de la santé « libéralisée »
1. La dérégulation et ses effets brutaux dus à la concentration de l’offre de soins
2. La concentration accélérée de l’offre de soins abaisse la productivité
III. Les limites politiques de la santé « libéralisée »
1. Le renforcement des corporatismes
2. La paupérisation des classes moyennes
IV. Les limites morales de la santé « libéralisée ».
1. Le renforcement des égoïsmes et de l’individualisme
2. Le marché ne peut être l’otage du réalisme ou de l’irénisme
Conclusion.
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