I – Les effets « anesthésiants » de la religion sur le droit européen de la santé
A - Le débat religieux, motif d’abstention du droit européen en matière de biomédecine
1 - L’absence de qualification européenne de l’embryon
2 - L’absence de prise de position sur l’encadrement de certaines pratiques : l’IVG et l’euthanasie
B - Les croyances et pratiques religieuses, moyens de dérogation à l’harmonisation européenne en matière de santé
1 - L’abattage rituel religieux et le droit de la protection de la santé et du bien être animal
2 - L’opposition religieuse à la manipulation du vivant et le droit des organismes génétiquement modifiés
II – Le traitement « homéopathique » par le droit européen des incompatibilités entre l’exercice de la liberté religieuse et la protection de la santé
A – Les limites du contrôle par le juge européen des ingérences nationales dans l’exercice de la liberté religieuse au nom de l’impératif de santé
1 - Le contrôle des ingérences nationales en matière de refus de soin ou de vente pour raisons religieuses
2 - Un contrôle des interdictions des signes religieux pour un motif de santé ?
B - Le minimalisme des textes européens relatifs à la conciliation entre l’exercice de la liberté religieuse et la protection de la santé
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