Légalité de l’avenant à la convention nationale des médecins généralistes et des médecins spécialistes du 12 janvier 2005, favorisant la prescription de certains génériques
I – La légitimité de l’arrêté portant approbation de l’avenant à la convention
A – L’absence de tout défaut de consultation préalable
1 - L’absence de consultation obligatoire imposée par la loi
2 - L’impossible mise en place conventionnelle de consultations obligatoires
B - L’absence d’un défaut de compétence des partenaires conventionnels
II – L’absence d’atteinte aux règles du droit de la concurrence
A - L’absence d’atteinte à la liberté générale de la concurrence
B - L’absence d’atteinte aux règles particulières de la concurrence
1 - L’absence de violation des règles communautaires de la concurrence
2 - L’absence de violation des règles internes de la concurrence